Petite mise à jour, en attendant que le carrossier
termine commence les travaux, je m'occupe de tout le reste. Décapage, peinture, zingage, recherche de pièces... Y'a de quoi faire. Remontage des suspensions avant, avec les amortisseurs du club.
Ils ont quand même demandé de petites adaptations, au niveau du calage dans les jambes de force, mais également en ce qui concerne l'empilage de toute la quincaillerie entre l'ecrou épaulé et le haut de la tige de l'amortisseur.
Penser a monter la rondelle en delrin avant de serrer le bouchon supérieur, sur les photos elle n'y sont pas. Voila une photo avant assemblage, les amortisseurs, et le reste. Les ressorts ont eu droit a leur couche d'epoxy, les jambes de force toutes neuves, c'est Obelix, mon revendeur habituel de pièces qui s'y est collé. Jambes de force, roulements, entretoises, semelles, soufflets... tout vient de chez lui.




Les petits colliers sous les soufflets ont été récupérés sur une épave, les coupelles de sécurité viennent de deux autres autos différentes.
L'ensemble des pièces sur les photos représente quand même une somme d'environ 800 euros, remonter une épave a quand même un certain coût.
Réassemblage sans grande difficulté, a condition d'avoir un compresseur de ressorts correct, éviter les outils a griffe habituels, un peu trop casse gueules à mon gout, surtout quand le ressort est totalement libre. Je n'ai pas accroché le bas des soufflets, je le ferai le jour ou l'auto sera réassemblée, pour ne pas les déteriorer, en effet ils sont très tendus à vide.


Pour le plaisir des yeux, photo d'ensemble avec le reste du train avant.

La aussi décapage, peinture, zingage de la visserie. Tout les silent blocs ont été remplacés par des pièces neuves d'époque toujours de chez Obélix. Les goujons de barre stabilisatrice viennent du club, j'ai fabriqué les entretoises et les plaquettes de blocage des écrous.
La direction a été démontée, j'ai remplacé les rotules de direction et le roulement, ainsi que le caoutchouc en bout de crémaillère, le reste était en bon état. La suite des hostilités, c'est le train arrière.

